6800 Libramont-Chevigny
L’humoriste Vincent Taloche vous présente un spectacle inédit en hommage à son idole. En effet, sans Bourvil, raconte-t-il, il n’y aurait jamais eu de "Frères Taloche"...
Le premier émoi artistique de Vincent Taloche, encore tout jeune garçon, a été de découvrir Bourvil à la télévision, et cette émotion ne l’a jamais quitté. C’est en écoutant régulièrement ses chansons qu’il s’est lancé le défi de reprendre une partie du répertoire de Bourvil mais de façon très personnelle et avec beaucoup de tendresse.
Entouré de musiciens, il nous livrera un concert tout en douceur, afin de perpétuer encore et toujours l’humanité, le rire et la tendresse de ce grand monsieur.
Un rendez-vous à ne surtout pas manquer, et à partager en famille ou entre amis, toutes générations confondues !
Même si Bourvil est un comique populaire, ce qui me touche chez lui ce n’est pas du tout les chansons rigolotes. J’ai peut-être gardé quatre chansons, sur vingt, qui sont comiques, comme La tactique du gendarme , qui fait un clin d’œil à mon Papa, qui était gendarme et qui était fou de La bonne planque. Je fais aussi Un clair de lune à Maubeuge. Mais toutes les autres chansons, comme La tendresse ou Le petit bal perdu, ce sont des chansons très poétiques, très tendres. J’aime particulièrement Monsieur le maître d’école. Je reprends le monologue de Vive la mariée. J’ouvre avec Baladin , façon de le présenter, comme de me présenter. Je ne voulais pas faire de sketches de Bourvil, ni l’imiter. Sur scène, je chante, mais je parle aussi, je raconte un peu De Funès, Bourvil, Le corniaud… (...) Quand j’ai parlé de mon projet aux fils de Bourvil, Dominique et Philippe, non seulement j’ai eu leur bénédiction, mais ils m’ont permis aussi d’utiliser de nombreuses photos tirées de leurs archives privées. Pendant le concert, où je chante soutenu par quatre musiciens (batterie, contrebasse, piano à queue et accordéon), on projette derrière moi des photos de Bourvil, dont les trois quarts sont des archives personnelles. Du coup, ce n’est pas qu’un simple concert. (Vincent Taloche)